1er mai parisien – Fin des détentions préventives

Les deux personnes encore détenues (dont une avait publiée une lettre écrite derrière leurs murs), parmi les trois arrêtées près de la gare du nord le 1er mai à Paris (voir ici et ), ont été relachées lundi 2 septembre suite au non-renouvellement de leur mandat de dépôt.

Avec l’échéance des 4 premiers mois de préventive, au moment où la juge menant l’instruction devait demander ou non le renouvellement de la détention, elle a ordonné leur mise en liberté avec un contrôle judiciaire. Le procureur n’ayant pas fait appel, l’admnistation prénitentiaire leur a signalé leur “mise en liberté” sous certaines conditions. Pour une, il y a interdiction de paraitre à Paris, de quitter le territoire de l’état français et de voir les deux autres. Pas de pointage au commisariat. Pour l’autre, nous n’avons pas encore les détails.

Personne ne sera libre tant qu’un-e sera enfermé-e et contrôlé-e

Liberté pour tout-es !

-Repris d’Indymedia Nantes-

1 de Mayo / May 1st Paris : Tras sus muros / Behind their walls

Carta de unx de lxs tres acusadxs detenidxs en la region de Paris después de un control policial en la noche del 1 de mayo.

Letter from one of the three defendants incarcerated in the Paris region following a police check on the night of May 1st.

Para escribirlx / To write him : campingetpaillettes@@@@riseup.net

Tras sus muros, 6 de agosto de 2019.

Nunca fueron los martillos en el maletero del coche, tanto como el mundo nuevo en el corazon, lo que les asusta y por lo que hoy escribo desde una celda.
Tras ser controlladx en Paris la vispera del primero de mayo y tres meses en detention orquestados por los maderos de caza, el fiscal que acusa, la jueza que cuestiona y la prensa que condena, la posibilidad de mi puesta en libertad se cancela por el fiscal que opina que hay riesgo de reincidencia y por mi empeño en no claudicar. Esperan que diga que accepto que la violencia les pertenece, que condene ante su presion las acciones de compañerxs, los disturbios, las revueltas. Me preguntan sobre lo que tengo en la cabeza, y si me niego a contestar es por lo que habita mi corazon.

El fiscal explica que las garantias ofrecidas para mi puesta en “libertad” bajo control judicial no aseguran un ambiente que pudiera “desradicalizarme” y que por ello he de permanecer en prision.
Y yo me pregunto como es que este siendo el sitio en el que manifiestan tan a las claras los masacres del Estado y sus siervos, del capitalismo y sus estragos, como es que una de las caras visibles de sus violencias podria hacer que dejé de soñar con su completa destruccion.
Nos quieren asustadxs y por ello sigo aqui.

Crear castigos ejemplarizantes y correr la voz en la prensa mayoritaria dadas las tensiones sociales y conflictividad que vienen ocurriendo en territorio francès en los ultimos meses es solo un movimiento mas en su juego, e incluso mas conveniente cuando pueden inculpar a extanjerxs con lxs que soportar el discurso con el que pretenden responsbilizar de dichas tensiones a cualquiera fuera de sus fronteras, como demuestran sus articulos sobre los 1 000 000 000 … de alemanes en Paris para el primero de mayo y demas historias que se suceden en este y otros tantos estados como parte de su deslegitimacion de la revuelta, ademas de enviar un mensaje de advertencia a la disidencia internacional en visperas del G7 que se celebrara en Biarritz.

Nos quieren asustadxs pero no funccionara. Podran tenerme a mi pero a las ideas no se las puede encerrar.
Ni la escuela que domestica, ni lx ciudadanx que obedece, ni lx vecinx que vigila, la jefe que te roba, el madero que te golpea, lx psiquiatra que te medica, el trabajo que te atrapa, la prensa que te miente o la carcel que amedrenta pueden frenar las ansias de insurreccion.

Rendirse jamas.
Muerte a las carceles y a la sociedad que las necessita.
Ni culpables, ni inocentes, enemigxs simplemente.
Viva la Anarquia

 

Behind their walls, 6 august 2019.

There never were the hammers in the luggage room of the car, as much as a new world in the heart, what scare them and the reason why today I write from the prison cell.
After being controlled in Paris the 1st may and three months in detention organized by the cop hunting, the prosecutor that accuse, the judge that question, and the press that sentence; the possibility of getting release got canceled by the state attorney that holds the opinion that the risk of reiteration is too high and by my condition on never give up.
They expect me to say that I accept violence belongs to them, that I would talk against actions of comrades, riots and revolt under their pressure.
They ask me about what’s inside my head, and if I refuse to answer is because what’s live inside my heart.

The state attorney explains that the guaranties offered for setting me “free” under judicial control don’t ensure an environment that could “de-radicalize” me. And because of that I must remain in prison.
And I wonder how it is that while this being the place where the massacres of the state and its servant, of capitalism and its havoc, are shown more clearly, how is it that one of the visible faces of their violence could make me stop dreaming with their complete destruction.
They want us scared, and because of that I’m still here.

To create an example of punishment and spread the message on the mass media while the social tensions and conflictuality given the last months on french territory is just one move more on their game, even more convenient when they can prosecute foreigners to back up the speech with which they want to blame of these tensions whoever out of their borders, as the articles about the trillions of Germans antifascist on Paris reason of the 1st of may and similar stories that appear on this and many other states when the tensions increase in order to illegitimate the revolt, as well as serving them as a perfect warning to international rioters and anarchists as the G7 to be celebrated on Biarritz approaches.

They want us scared but it won’t work.
They can have me, but ideas can’t be imprisoned.
Neither the school that domesticate, nor the citizens that obeys, nor the neighbor that watches, the boss that steals from you, nor the cop that hit you, the shrink that medicates you, the job that traps you, the press that lies to you, nor the prison that threat you can’t stop the desire for the insurrection.

Never give up, no compromise !
Death to the prison and the society that need them.
Not innocent neither guilty simply enemies.
Long life anarchy !

Fuegos artificiales solidarios

El miércoles 7 de agosto, al anochecer, se dispararon fuegos artificiales frente a la prisión para mujeres de Versailles y frente a la prisión de Nanterre, en solidaridad con los acusad@s arrestad@s el 1 de mayo cerca de la Gare du Nord, y contra todas las cárceles.

Nadie será libre mientras un@ este encerrad@
¡Libertad para tod@s!

Fireworks in solidarity

Wenesday 7 august, at dusk, some fireworks were fired on front of the jail for women of Versailles and in front of the prison of Nanterre, in solidarity with the defendants arrested on May 1st at Gare du Nord, and against all prisons.

Nobody can be free if anyone is locked up

Freedom for all !

-Indymedia Nantes-

1er mai parisien – Derrière leurs murs

Lettre d‘un-e des trois inculpé-e incarceré-e en région parisienne suite à un contrôle de police la nuit du 1er mai.

Pour lui écrire : campingetpaillettes@riseup.net

Derrière leurs murs, 6 août 2019.

Ce qui leur fait peur, ça n’a jamais été les marteaux dans le coffre de la voiture mais bien un nouveau monde dans le coeur, c’est pour cela que j’écris aujourd’hui depuis une cellule de prison.
J’ai été controlé-e à Paris le 1er mai et placé-e depuis plus de 3 mois en détention, le tout orchestré par les flics qui chassent, le procureur qui accuse, le juge qui questionne et la presse qui condamne. Et voilà que la possibilité de remise en liberté vient de m’être refusée par le proc, qui estime qu’il y a risque de réitération. Et à cause de mon obstination à ne rien lâcher.
Ils attendent de moi que je dise que la violence leur appartient, que sous la pression je condamne les actions de compagnon-nes, les émeutes, les révoltes.
Ils me demandent ce que j’ai dans la tête, et si je refuse de répondre, c’est à cause de ce que je porte dans mon coeur.

Le proc explique que les garanties présentées pour me remettre en “liberté” sous contrôle judiciaire, n’assurent pas un environnement qui pourrait me “déradicaliser”. Et pour cela je dois rester en prison.
Je me demande comment -en étant dans un lieu où se manifestent si clairement les massacres de l’état et de ses larbins, du capitalisme et de ses ravages- comment, une des faces les plus visibles de leur violence pourrait me faire arrêter de rêver à sa totale destruction.
Ils nous veulent apeuré-es, et c’est pourquoi je suis toujours ici.

Etant donné les tensions sociales et la conflictualité qui se déroulent ces derniers mois sur le territoire francais, créer des exemples répressifs et diffuser le message dans les médias dominants n’est qu’une carte de plus dans leur jeu. C’est encore plus arrangeant quand ils peuvent poursuivre des étranger.es pour appuyer les discours qui rendent responsable de ces tensions quiconque se trouve en dehors de leurs frontières. Comme le démontrent leurs articles sur les 1 milliard d’allemands … à Paris pour le 1er mai et autres histoires qui se succèdent dans cet état et dans tant d’autres. Comme une manière de délégitimer la révolte, et de lancer un avertissement aux dissident-e-s internationaux à la veille du G7 qui se déroulera à Biarritz cet été.

Ils veulent nous effrayer, mais ça ne marchera pas.
Ils peuvent m’emprisonner, mais pas mes idées.
Ni l’école qui domestique, les citoyen-nes qui obéissent, les voisin-es qui surveillent, ni la cheffe qui te vole, le flic qui te frappe, lea psy qui te cachetonne, le boulot qui te tient, la presse qui te ment ou la prison qui te menace n’arrêteront le désir d’insurrection

Se rendre, jamais.
Mort aux prisons et à la société qui en a besoin.
Ni coupables, ni innocents, ennemis tout simplement.
Vive l’anarchie !

Feu d’artifice en solidarité

Mercredi 7 aout, à la tombée de la nuit, des feux d’artifices ont été tirés devant la prison pour femme de Versailles et devant la prison de Nanterre, en solidarité avec les inculpé-es arrêtés le premier mai à proximité de gare du nord et contre toutes les prisons.

Personne ne sera libre tant qu’un-e sera enfermé-e

Liberté pour tout-es !

-Repris d’Indymedia Nantes-

1er mai parisien – A propos de Demande de Mise en Liberté

L’été est chaud, et d’autant plus insupportable quand on est enfermé.e.

Le 1er mai 2019, trois personnes (deux allemands et un.e espagnol.e) ont été arrêtées durant la nuit, vers 2h, près de la gare du Nord à Paris. Les flics ont procédé à une perquisition de la voiture qui les avait conduites à Paris. Les journaflics annonceront rapidement qu’un « arsenal comprenant des éléments pour constituer des engins incendiaires » a été saisi dans un « véhicule d’écolos-anarchistes ». Le fait d’avoir dans son véhicule de la littérature anarchiste, un bout de papier où sont inscrit des lieux de RDV pour rejoindre des départs en manifs, quelques outils pouvant être utile sur un chantier, au camping ou dans la rue et d’être dans les fichiers de la police allemande est pour les flics et le proc’ matière à voir le reste du contenu comme un arsenal. Les réchauds, les jerricanes de gasoil vides et l’huile d’olive deviennent des engins explosifs et les paillettes noires ainsi que le sucre blanc des substances dangereuses à analyser. Illes sont mis en examen pour « détention et transports d’armes de catégorie A » (armes dites de guerre, ici des masques à gaz intégraux…), “détention et transport de substances incendiaires et explosives” et « association de malfaiteurs en vue de la commission de crime ou délit ».
Ce dernier chef d’inculpation ouvre systématiquement une instruction qui permet aux juges d’employer tout l’arsenal policier pour enquêter et enfermer pour de longs mois les mis.es en examen.

Deux des trois de la gare du nord sont toujours incarcéré.es, depuis le 1er mai 2019. Illes ont été amené.es dans le bureau de la juge d’instruction pour un second interrogatoire, début juillet. Des DML (demandes de mise en liberté) ont été deposées dernièrement.

C’est-à-dire que des “garanties de représentation” (adresse d’hébergement, formation…) sont présentées à la juge d’instruction, susceptibles de satisfaire ses critères, pour qu’elle mette fin à leur détention dite préventive. Une mise en liberté qui sera sans doute conditionnée à un contrôle judiciaire interdisant aux 3 qu’illes puissent se rencontrer, qu’illes soient à la disposition du juge si besoin, qu’illes pointent régulièrement dans un commissariat… et qu’illes se présentent à leur procès.

La juge d’instruction, qui est la première à statuer sur ces demandes, les a acceptées. Mais comme attendu, le parquet a fait appel et empêche leur mise en liberté avant que la chambre de l’instruction ne donne l’ultime avis dans cette procédure. L’un d’entre elleux a vu sa demande acceptée mardi 30 juillet, un autre refusée, et lea troisième doit passer vendredi 2 août en audience. L’instruction étant toujours en cours, ces audiences ne sont pas publiques.
A cette occasion comme à d’autres, il est toujours possible d’exprimer notre solidarité avec elleux et notre rage contre ce monde de flics, de juges et de matons.

Feu à toutes les prisons !
Liberté pour tou.tes !

Des complices

Pour les contacter, vous pouvez écrire à campingetpaillettes@riseup.net

-Repris d’Indymedia nantes-

Autour de la repression du 1er mai parisien

Ces derniers mois, la multiplication d’actes contre l’ordre existant a réchauffé autant le climat de guerre sociale que nos cœurs de révolté-e-s. Des sabotages d’infrastructures, des attaques de lieux ou de responsables du pouvoir, des émeutes et pillages dans les quartiers riches, des actions qui sont menées, de nuit comme de jour, seul-e-s ou à plusieurs.

Face à cet élan le pouvoir affûte ses armes. La volonté des puissants d’un retour à la normale fait travailler un peu plus législateurs, juges, flics, matons ou autres journalistes pour essayer d’éteindre le feu. Chaque nouvelle journée de manifestation est pour l’État et ses larbins le moment d’essayer de contenir et réprimer celles et ceux qui veulent continuer à se retrouver et à exprimer leur rage en prenant la rue.
Des “lois scélérates” de la fin du 19e siècle, dont est issue le délit d'”association de malfaiteurs”, aux lois contre les cagoules de 2019 en passant par celles anti-casseurs, lorsque la carotte de la démocratie et de la libre expression ne fonctionne plus, le pouvoir brandit le bâton contre celles et ceux qui agissent contre la bonne marche de ce monde. Mutilations, contrôles et arrestations préventives, mises au trou, sont le revers de la médaille du vote, de la délégation, du maintien de l’ordre.

1er mai 2019. 17 700 contrôles préventifs, 330 interpellations à Paris, dont plus de 250 GAV.
Parmi les personnes arrêtées ce jour-là, certaines ont été mises en détention provisoire ou sous contrôle judiciaire, suite à leur refus de comparaître immédiatement pour mieux préparer leur défense ou pour refuser le jeu de la justice.

De toutes ces affaires certaines sont parvenues à nos oreilles. Parmi elles il y a X, arrêté place d’Italie en fin de manifestation et inculpé de “participation à un groupement en vue de…”, rébellion, menaces sur flics, refus d’alimenter les fichiers de la police et port d’arme (ici un masque à gaz) et qui sera finalement condamné à 4 mois avec maintien en taule, payant notamment le fait de n’avoir rien voulu lâcher, pas même son identité.

Quatre personnes ont été arrêtées vers midi dans une rue de Paris. En les fouillant les flics mettent la main sur 3 marteaux et un bâton ainsi que du “matériel de protection”. Poursuivi-e-s pour “participation à un groupement en vue de…”, et refus de donner ADN et empreintes digitales, le procès aura lieu le 27 septembre au TGI de Paris.

Il y a aussi 5 personnes qui ont été arrêtées à 7 heures du matin dans leur camion garé au bois de Vincennes. En fouillant le véhicule la police trouve divers objets dont des masques, gants coqués, lance pierre, et une bonbonne de gaz à rechaud qui aux yeux du procureur servirait “à fabriquer des molotovs”. Après avoir refusé la comparution immédiate, 3 d’entre elles ont été mises au trou et 2 sous contrôle judiciairee toujours pour participation à un groupement en vue de… Le 3 juin, les dernières personnes incarcérées ont été relâchées et toutes sont interdites de Paris jusqu’au procès reporté au 1er juillet au TGI de Paris.

Enfin, un.e espagnol.e et deux allemands, ont aussi été arrêtés durant la nuit précédente vers 2h près de la gare du Nord à Paris. Les flics ont procédé à une perquisition de la voiture qui les avait conduits à Paris. Dès 2h40 le syndicat de flics VIGI (CGT-police) publie une photo mettant en scène ce qui aurait été pris dans le coffre de la voiture. Ce qui ressemble à des outils et du matériel de cuisine, devient dans la bouche des journaflics un “arsenal comprenant des éléments pour constituer des engins incendiaires”, saisi dans un “véhicule d’écolos-anarchistes”. On apprendra par la suite qu’ils sont mis en examen pour “détention et transports d’armes de catégorie A” (armes dites de guerre, ici des masques à gaz intégraux…) et “association de malfaiteurs en vue de la commission de crime ou délit”.

Ce dernier chef d’inculpation ouvre systématiquement une instruction qui permet aux juges d’employer tout l’arsenal policier pour enquêter et enfermer pour de longs mois les mis-e-s en examen. D’ailleurs, pas besoin d’être plusieurs pour être poursuivi pour “association” comme c’est le cas pour R., arrêté le 2 février à Toulouse, et qui est incarcéré depuis.

Suite à une demande de mise en liberté, un des trois inculpé-e-s de la gare du Nord a été relâché et mis sous contrôle judiciaire. Le procureur a fait appel de la décision et très prochainement un juge décidera de confirmer ou non sa mise en liberté.

Face au sale travail de la justice qui plaque son langage et ses griffes sur nos révoltes pour mieux les écraser, ne laissons pas la répression nous isoler. Une de nos armes est la solidarité que chacun-e peut employer selon les moyens qui lui sembleront les plus adéquats.
De nombreux procès ont déjà eu lieu et de nombreux autres vont se dérouler ces prochains mois. Autant d’occasions de venir manifester notre appui aux révolté-e-s et notre rage à la face des juges.

Crève la justice et ses taules !
Liberté pour toutes !

Des complices

campingetpaillettes@riseup.net

(des traductions en allemand et en espagnol sont en cours. D’autres traductions sont bienvenues !)

Kalimero, caisse de solidarité avec les prisonnier-es de la guerre sociale, envoie, entre autres, des mandats à certain-es des incarcéré-es. Pour contact, renflouer la caisse, solidarité, kalimeroparis@riseup.net

Erratum : L’inculpé de Gare du nord n’a jamais été relaché. L’appel du procureur a suspendu la décision. Le jugement en appel a rejeté sa mise en liberté.

-Repris d’Indymedia Nantes-

Brise – Recueil de textes contre l’enfermement

 

-Nouveaux murs, nouvelles peintures.. nouvelles fissures ? – Yoyo n°1
-Ni prison ferme, ni fermes­prisons! – Yoyo n°3
-Prisons de Haute Sécurité et peines alternatives : Les deux faces d’une même pièce – Des ruines n°2
-Déchaînons­nous contre l’enfermement – Local Apache Caen
-Il n’existe pas de prisons à visage humain !
-Bref voyage dans la prison sociale – A Corps perdu n°2
-Enfermé en moi – Tout le monde dehors n°2
-Entre consentement et refus (Sur l’HP de Saint Venant) – Sans remède n°1
-“On s’occupe de tout” (Mon voyage en psychiatrie) – Sans remède n°1
-Quelques réflexions suite à la lutte contre la construction d’un nouveau centre fermé – Salto n°2
-En finir avec le prisonniérisme pour retrouver des perspectives offensives – A Corps perdu n°2
-Femmes trans en prison (Extraits)
-Trois petits tours et puis s’en vont